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Figure 3.

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Autisme et théorie du monde intense. Cette théorie se fonde sur l’observation, dans les modèles de rongeurs traités au VPA, d’une augmentation de la réactivité et de la capacité d’apprentissage (plus de mémorisation et une résistance à l’oubli) des neurones de certaines régions du cerveau, comme le système limbique (en particulier l’amygdale) et le néocortex. Certains réseaux neuronaux seraient ainsi « déconnectés » et fonctionneraient de façon autonome. Sachant que, d’une part l’amygdale est impliquée dans la reconnaissance et l’évaluation de la valence émotionnelle des stimulus sensoriels (circuit empathique), dans l’apprentissage des réponses comportementales associées à la peur et à l’anxiété et, d’autre part, le néocortex participe à la perception sensorielle et à la réaction motrice ainsi qu’à la prise de décision et le langage, ce dysfonctionnement des réseaux neuronaux serait responsable de certains TSA. En particulier, une exagération des peurs et de l’anxiété et des mouvements stéréotypés (d’après [27]).

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