Figure 2.


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Constructions utilisées dans deux lignées transgéniques pour invalider le gène du récepteur des œstrogènes (ERa). A. Le gène ERa (ERa-WT) comporte 8 exons. Deux codons initiateurs ATG1 (dans l’exon 1) et ATG2 (dans l’exon 2) peuvent être utilisés, à l’origine d’isoformes de longueurs différentes. La partie codante du gène est précédée par une région 5’ non traduite (5’UTR). La première construction d’inactivation de ERa (ERa-Néo KO [10]) a consisté à insérer une cassette néomycine dans le premier exon du gène ERa. La deuxième construction d’inactivation de ERa (ERa-D2 KO [11]) a consisté à exciser le deuxième exon du gène ERa codant pour le domaine de liaison du récepteur à l’ADN. B. Le récepteur des œstrogènes a, ERa (66) comporte 6 domaines (de A à F), dont des domaines de liaison à l’ADN, à l’hormone œstrogène et des fonctions transactivatrices AF1 et AF2. La construction de la lignée ERa-D2 KO ne permet l’expression d’aucune protéine fonctionnelle en l’absence de domaine de liaison à l’ADN. En revanche, nous avons mis en évidence, chez les souris ERa-Néo KO, à la faveur de mécanismes d’épissage alternatif, l’existence de deux formes tronquées de récepteurs : une isoforme de 46 kDa (46) et une molécule chimère de 55 kDa (55) contenant 7 acides aminés de la cassette néomycine. Ces deux récepteurs sont certes dépourvus de la fonction transactivatrice AF1, mais conservent la fonction transactivatrice AF2.
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