Figure 1

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Diagramme en V renversé récapitulant la chimiolithotrophie dans le cas type des eubactéries. Les potentiels redox vont croissant vers le bas : les flux d’électrons allant vers le bas sont autorisés thermodynamiquement et produisent de l’énergie. Tous les flux d’électrons se font par passage de cytochrome en cytochrome, au sein d’une membrane (membrane plasmique ou vésicule intracellulaire). Une première voie, forme de respiration minérale (en vert), libère de l’énergie qui sert à former un gradient transmembranaire de protons (en jaune). Celui-ci peut, au niveau d’ATPases, former de l’ATP. Une seconde voie, la chaîne de transfert inverse (en bleu), porte des électrons vers les cofacteurs des réductions cellulaire, le NADH,H+ (ou le NADPH,H+, selon l’espèce) : elle consomme une partie du gradient de protons nécessaire à permettre cette oxydo-réduction si elle est thermodynamiquement défavorisée. Insert en bas à droite : bactérie oxydant le nitrate par l’oxygène, Nitrosobacter winogradskyi, en microscopie électrique. ATP : adénosine triphosphate ; CC-O : couplage chimio-osmotique, transférant de l’énergie d’une réaction d’oxydo-réduction à un gradient, ou l’inverse ; e- : électrons.
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