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Figure 3.

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Les cellules LSCmed correspondent à la population de cellules luminales progénitrices identifiée in silico par séquençage d’ARN sur cellules uniques. (A) Identification des différentes populations cellulaires épithéliales de la prostate de souris sauvages telles que définies in silico par Crowley et al. [20]. La population luminale progénitrice (LumP, n° 5 entourée d’un cercle rouge) représente une faible proportion de l’épithélium glandulaire. Elle se caractérise par une signature de 15 marqueurs commune aux cinq études scRNAseq réanalysées dans notre étude [23]. Cette population cellulaire définie in silico est la seule significativement enrichie en transcrits de la signature des cellules LSCmed [24], comme illustré par le « score LSCmed » élevé (B), le « violin plot » (C) et la « heatmap » (D). Les trois kératines typiques des cellules LSCmed (Krt4, Krt7 et Krt23) sont représentées (D). Parmi les 15 gènes de la signature des cellules luminales progénitrices définies in silico (A), 8 (représentés en gras) sont des marqueurs très significatifs des cellules LSCmed enrichies par tri cellulaire (niveau d’expression supérieur à 1,5 fois plus élevé que dans les autres populations cellulaires épithéliales, p < 0,05). Lum : cellules luminales issues des lobes prostatiques antérieur (LumA), dorsal (LumD), latéral (LumL) et ventral (LumV) (figure modifiée d’après [23]).

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