Tableau I
Classification des différents types d’immunothérapie.
Immunothérapie | Active | Passive/adoptive 1 |
---|---|---|
Spécifique |
|
|
Non spécifique | / |
L’immunothérapie adoptive (composante cellulaire de l’immunité, lymphocytes T) a été regroupée avec l’immunothérapie passive (composante humorale, anticorps), car toutes deux supposent le transfert d’une immunité spécifique venant d’un autre organisme. Hormis le support de l’immunité, la principale différence pratique réside dans le fait que l’effet de la seconde n’est que temporaire alors que l’immunité adoptive est censée être définitive.
Procédé récemment approuvé pour le traitement du cancer de la prostate consistant à administrer au patient des cellules dendritiques autologues activées présentant un antigène tumoral ; à la différence des vaccins anti-infectieux classiques, il ne s’agit pas de l’administration de l’antigène lui-même.
Anticorps recombinant anti-oncogène Her-2/neu, dont la surexpression est spécifique de certaines formes de cancer du sein et de l’estomac.
Procédé thérapeutique pour lequel il n’y a pas encore de produit approuvé ; les allogreffes de moelle osseuse, par leur effet GvL (graft-versus-leukemia), restant à ce jour les seuls exemples cliniques d’immunothérapie adoptive spécifique.
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