Figure 2

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Schéma comparant la voie IMD de la drosophile et les voies NOD et TNFRI des mammifères. A. Chez la drosophile, une stimulation du récepteur membranaire de peptidoglycanes (PGRP-LC : peptidoglycan recognition protein-LC) par un dérivé de bactéries Gram- (peptidoglycane : PGN) conduit au recrutement de IMD (homologue de RIP1), de la caspase DREDD et de l’adaptateur dFADD. DREDD clive la protéine IMD qui est ainsi reconnue par DIAP2. DIAP2 induit la poly-ubiquitinylaiton de type K63 d’IMD permettant le recrutement et l’activation des complexes TAB2/TAK1 et IKK conduisant à l’activation de Relish (homologue NF-κB). B. Chez les mammifères, cIAP1 et 2 catalysent l’ubiquitinylation K63 de RIP2 (voie des récepteurs NOD) et de RIP1 (voie TNFRI). De plus, cIAP1 et 2 induisent leur propre ubiquitinylation. Ces chaînes d’ubiquitines sont des signaux favorisant le rapprochement des complexes IKK (IKKβ/IKKα/IKKγ) et TAK1/TAB2/TAB3 et de LUBAC (HOIP/HOIL1/SHARPIN). Ceci conduit à l’ubiquitinylation linéaire d’IKKγ et de RIP1 par LUBAC participant à la stabilisation des complexes et à leur activation. TAK1 catalyse la phosphorylation d’IKKβ qui en retour stimule la phosphorylation d’IκB-α (NF-kB inhibitor α) permettant ainsi son ubiquitinylation et sa dégradation. L’absence des IAP ou des intermédiaires TRAF favorise la formation des complexes II conduisant à l’apoptose.
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