Figure 1.

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Protocole d’électroporation d’un gène hôte dans le tube neural d’un embryon de poulet de stade 10 somites. A. L’ADN plasmidique est njecté dans le tube neural à l’aide d’une micropipette (1), l’ADN injecté est représenté en rouge. Un choc électrique est créé grâce à deux électrodes placées à la surface du blastomère de chaque coté de l’embryon (2), et l’ADN pénètre dans les cellules du tube neural de façon unidirectionnelle (3). B. Expression de la ß-galactosidase (lacZ) sous le contrôle d’un promoteur fort CMV (cytomégalovirus) dans le tube neural 18 h après électroporation. Toutes les cellules électroporées expriment le plasmide. Pour une électroporation de ce type, les conditions sont pour des électrodes de 4 mm de long espacées de 4 mm : cinq chocs électriques de 20 volts de 50 ms chacun, espacés par des pauses de 5 ms. Le vecteur utilisé dans ce cas est pcDNA3 (invitrogen). S : somites; TN : tube neural ; A : pôle antérieur ; P : pôle postérieur.
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