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Figure 1.

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Différences et similitudes de perception des PAMP bactériens chez les plantes et les mammifères. Le système immunitaire emploie des classes variées de PRR qui permettent la détection rapide des bactéries au site de l’infection. Tandis que les PRR identifiés chez les plantes sont principalement membranaires, les récepteurs des mammifères peuvent être membranaires, cytoplasmiques ou localisés à la membrane des endosomes. Parmi les PAMP bactériens communément perçus par les plantes et les mammifères se trouvent le LPS, le PGN et la flagelline. Quelques couples PRR/PAMP identifiés chez les végétaux ou les mammifères sont représentés sur cette figure. Chez les plantes, le facteur d’élongation EF-Tu (elongation factor Tu) d’Escherichia coli est reconnu par le RLK EFR [3]. Son rôle chez les animaux n’est pas décrit. À l’inverse, l’acide lipotéichoïque (LTA) est reconnu par TLR2 chez les animaux mais sa perception n’est pas décrite chez les plantes. PGN : peptidoglycane ; Flg : flagelline ; LPS : lipopolysaccharide ; EF-Tu : elongation factor Tu ; EFR : elongation factor receptor ; LTA : acide lipotéichoïque ; TLR : toll like receptor ; FLS2 : flagellin sensing 2 ; NOD : nucleotide-binding oligomerization domain proteins ; LRR : leucin rich repeat ; LysM : lysin motif ; TIR : Toll/ interleukin 1-receptor domain ; CARD : caspase recruitment domain ; RLK : receptor-like kinase.

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