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Figure 1.

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A. Évaluation de l’effet inhibiteur de la mélatonine sur l’accumulation intracellulaire d’AMPc dans les ostéoblastes humains. Effet de doses croissantes de mélatonine (10–11 à 10–5 M) sur les niveaux d’AMPc intracellulaire induit par la stimulation de l’activité adénylate cyclase par la forskoline (10–5 M) dans les ostéoblastes dérivés de patients scoliotiques. Les courbes d’inhibition ont permis de classifier les patients SIA en trois groupes fonctionnels. Le groupe 1 (

) montre une augmentation des niveaux d’AMPc au lieu d’une diminution comme on l’observe dans le groupe témoin. Dans le groupe 2 (), on n’observe presque pas d’inhibition, alors que les cellules des patients du groupe 3 () montrent une réponse partielle. B. Défaut de signalisation de la mélatonine chez les patients SIA. La mélatonine peut se lier à ses récepteurs membranaires MT1 ou MT2 (principalement présents à l’état d’hétérodimères). Ce sont des récepteurs couplés aux protéines Gi (G inhibitrices) qui, une fois activées, inhibent l’activité des adénylates cyclases. Chez les patients SIA, les sous-unités Gα des protéines Gi sont phosphorylées dans les résidus sérine, ce qui prévient la formation de trimères avec les sous-unités βγ, ce qui induit leur inactivation et leur incapacité à inhiber l’activité des adénylates cyclases. La phosphorylation des protéines Gi a été démontrée chez les patients SIA par Moreau et al. [28].

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