Figure 4.

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Diversité de la morphologie des invadopodes en fonction du substrat. (A, B) Sur un substrat bidimensionnel de gélatine (représentant une matrice extracellulaire [MEC] ultra-simplifiée), il est possible de visualiser l’activité protéolytique des invadopodes par la disparition du signal fluorescent associé à la gélatine. La visualisation des invadopodes dégradant la MEC nécessite un immunomarquage d’un marqueur d’invadopode, comme la cortactine ou, comme dans la figure, la protéine TKS5 (tyrosine kinase substrate with five SH3 domains) (B). (C, D). Lorsque les cellules invasives sont au contact d’un substrat plus physiologique, ici un réseau de collagène de type I fibrillaire, les invadopodes se forment en association avec les fibres de collagène et adoptent une morphologie linéaire. Grâce à la combinaison de leur activité dégradative et de la force appliquée par l’invadopode directement sur la fibre de collagène, les fibres de collagène se courbent (le réseau d’actine branché de l’invadopode étant localisé au niveau de la face concave de la fibre). La force de poussée produite par l’invadopode et transmise à la fibre de collagène résulte de la polymérisation des filaments d’actine branchés dans les invadopodes. Les invadopodes linéaires sont également visualisés par immunomarquage de protéines spécifiques, comme TKS5, les fibres de collagène étant marquées grâce à un fluorophore (D).
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