Figure 1.

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Induction de lymphocytes T à activité anti-tumorale par application cutanée de bactéries modifiées exprimant des antigènes tumoraux. La souche de Staphylococcus epidermidis modifiée pour lui faire exprimer des antigènes tumoraux (ovalbumine, néoantigènes) a été appliquée sur la peau de la souris. Ces antigènes sont donc pris en charge par des cellules dendritiques, qui migrent vers les ganglions drainants et induisent une activation des lymphocytes T (LT) CD8+ et CD4+. Ces derniers sont capables d’éliminer différentes tumeurs primaires greffées sous la peau de l’animal (mélanome B16-F10, cancer de la prostate non orthotopique Tramp-C2), ou des métastases pulmonaires induites après injection intraveineuses des cellules cancéreuses. Cette efficacité anti-tumorale existe après une vaccination prophylactique ou une vaccination thérapeutique. Elle entraîne une réponse mémoire protégeant les animaux guéris en cas de nouvelle greffe tumorale (figure réalisée à l’aide du logiciel Biorender).
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