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Figure 1.

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L’interaction entre lymphocytes T infectés et macrophages promeut la fusion entre les deux cellules et la formation d’un hétérocaryon infecté. (A) L’observation de l’interaction entre un lymphocyte T infecté par le VIH-1 (en vert) et un macrophage (en bleu) par microscopie électronique à balayage montre l’établissement d’un contact étroit entre les deux cellules, ainsi que des déformations de la membrane du lymphocyte T en direction du macrophage. (B) Des macrophages et des lymphocytes T infectés ont été marqués avec des sondes fluorescences différentes (respectivement, CellTracker violet et green) avant d’être mélangés. Après six heures de coculture, on observe l’apparition de cellules infectées (marquage HIV-p24), marquées par les deux sondes fluorescentes, et comportant au moins deux noyaux d’origines différentes (Nuclei). (C) Des macrophages issus de différents tissus ont été exposés à des lymphocytes T infectés, soit directement dans leur tissu d’origine (macrophages synoviaux, à gauche), soit après purification (amygdale, poumon et placenta, à droite). Après 24 heures, on observe des macrophages infectés (marquage HIV-p24) et multinucléés (noyaux, DAPI). Dans le cas des explants synoviaux, ces cellules expriment à la fois un marqueur de macrophage (CD68) et un marqueur de lymphocyte T (CD3).

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