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Figure 2.

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La mélatonine au cœur de la biochimie. À gauche, ses cibles reconnues et bien décrites. À droite, son origine (voir Figure 1) et son devenir métabolique : excrétion inchangée dans les urines (la mélatonine est éliminée sans modification métabolique), cassure de la molécule pour donner des kynurénines et conjugaison sous forme de glucuronides et, peut-être, de sulfoconjugués. En orange, l’action supposée de la mélatonine comme antioxydant, fondée sur des mécanismes inconnus. *AMK : N1-acétyl-N2-formyl-5-méthoxykynurénine [19]. ** Point d’entrée de la mélatonine dans le récepteur (d’après [20]).

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