Figure 2.

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Mécanisme d’action d’un antibody drug conjugate (ADC). Suite à la fixation de l’ADC sur son antigène cible (1) , le complexe antigène/ADC est internalisé par endocytose (2) . Le trafic intracellulaire et la fusion successive des vésicules endosomales (3) , leur acidification progressive, ainsi que la fusion avec les lysosomes (compartiments subcellulaires riches en enzymes protéolytiques) permettent la dégradation protéolytique de l’ADC (4a) . L’antigène peut être dégradé dans le lysosome (4a) ou recyclé à la membrane plasmique (4b) . L’agent cytotoxique est ensuite libéré dans le cytosol de la cellule tumorale sous la forme de métabolites dont la composition dépend de l’agent de liaison (5) [25–27]. Les métabolites peuvent alors inhiber la polymérisation de la tubuline (6a) ou induire des cassures double brin de l’ADN après migration au noyau (6b) , ce qui conduit à l’arrêt du cycle cellulaire, puis à la mort par apoptose. Certains métabolites, de par leurs propriétés physicochimiques, sont libérés par la cellule tumorale et peuvent diffuser dans l’espace extracellulaire, pénétrer les cellules environnantes et les tuer par effet bystander (7).
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