Figure 3.

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Rôles de l’autophagie, p53 et mTOR dans la sénescence. Le stress génotoxique (en activant p53) et le stress oncogénique induisent l’autophagie en interférant avec la voie IGF/Akt/mTOR (voir Glossaire). L’autophagie favorise la sénescence en stimulant le SASP (voir Glossaire) dans lequel NFkB joue un rôle clé. La sécrétion de cytokines (IL-6/-8) et de métalloprotéases associées à la matrice extracellulaire (MMP) provoque l’inflammation qui favorise diverses pathologies associées à l’âge (arthrose, athérosclérose et cancer). Dans certaines situations, p53 peut aussi bloquer l’autophagie. D’autre part, une stimulation excessive du métabolisme, via les mutations de la voie IGF/Akt [28], pourrait inhiber FoxO et conduire à un stress oxydatif, également favorable à la tumorigenèse [51, 52] (→). P53 contribue aussi au phénotype sénescent par l’inhibition de la mitochondriogénèse, bien que la production d’espèces réactives oxygénées (ERO) soit élevée dans les cellules sénescentes (voir Encadré 2). Les lignes pointillées indiquent les rôles potentiels de la voie mTOR favorisant la sénescence, suggérés par certains résultats récents [30].
(→) Voir l’article de A. Brunet, page 316 et la Nouvelle de P. Rimmelé et al., page 250 de ce numéro
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