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Figure 3.

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Études transcriptomiques chez le Leishmania. On peut utiliser des puces à ADN par exemple pour trouver des gènes propres à une espèce de Leishmania, en marquant les ADN de deux espèces différentes telles que L. major et L. donovani avec deux fluorophores différents comme Cy3 et Cy5 et en réalisant une hybridation compétitive sur lame. De la même façon, il est possible de détecter des gènes exprimés spécifiquement à un stade de vie du parasite (promastigote ou amastigote), ou différentiellement exprimés chez les parasites sensibles ou résistants. En marquant avec des fluorophores différents des ARN provenant de macrophages naïfs ou infectés par le parasite, ou provenant d’animaux infectés ou non infectés, il sera possible d’observer la réponse de l’hôte de façon globale lorsqu’il interagit avec le parasite.

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