Figure 1.

Télécharger l'image originale
Perspective de thérapie cellulaire du diabète auto-immun par transfert de Ly Treg. A. Dans une expérience précédente, des Ly Treg étaient purifiés à partir de souris NOD sauvages puis ré-injectés en grandes quantités chez des souris NOD génétiquement déficientes en Ly Treg obtenues par recombinaison homologue. Le transfert de ces cellules prévenait ou retardait efficacement l’apparition du diabète. Dans le groupe témoin, les souris qui ne recevaient pas d’injection de Ly Treg développaient un diabète sévère [2]. B. Une approche similaire pourrait être envisagée chez des sujets pré-diabétiques (le risque de diabète est suspecté par la présence de différents auto-anticorps spécifiques d’antigènes d’îlots de Langerhans) présentant un déficit en Ly Treg. Leurs Ly Treg résiduels seraient purifiés, cultivés ex vivo en présence d’interleukine-2 pour induire leur prolifération, puis seraient ré-injectées au même patient.
Les statistiques affichées correspondent au cumul d'une part des vues des résumés de l'article et d'autre part des vues et téléchargements de l'article plein-texte (PDF, Full-HTML, ePub... selon les formats disponibles) sur la platefome Vision4Press.
Les statistiques sont disponibles avec un délai de 48 à 96 heures et sont mises à jour quotidiennement en semaine.
Le chargement des statistiques peut être long.