Figure 4.

Télécharger l'image originale
Obstacles potentiels à la transplantation du génome chez les bactéries. A. Des nucléases non spécifiques (sécrétées dans l’environnement ou liées à la membrane) peuvent hydrolyser l’ADN avant son entrée dans la cellule et doivent donc être inactivées. B. Les systèmes de restriction-modification (R-M), mécanisme de défense contre l’invasion d’ADN étranger, hydrolysent l’ADN entrant incorrectement méthylé. C. La machinerie de réparation/recombinaison de l’ADN de la cellule receveuse peut induire des événements de recombinaison homologues ou illégitimes entre génome donneur et génome de la cellule receveuse, pouvant aboutir à des cellules abritant des génomes mosaïques ou hybrides. D. Certaines bactéries possèdent sous la membrane plasmique un réseau structuré de filaments formant le cytosquelette pouvant « physiquement » empêcher l’entrée du génome donneur. E. Les systèmes toxine/antitoxine, les systèmes de reconnaissance d’ADN étranger (CRISPR, etc.) ou encore les séquences d’insertion (IS) pourraient également limiter la compatibilité entre le génome donneur et celui de la cellule receveuse.
Les statistiques affichées correspondent au cumul d'une part des vues des résumés de l'article et d'autre part des vues et téléchargements de l'article plein-texte (PDF, Full-HTML, ePub... selon les formats disponibles) sur la platefome Vision4Press.
Les statistiques sont disponibles avec un délai de 48 à 96 heures et sont mises à jour quotidiennement en semaine.
Le chargement des statistiques peut être long.