Figure 1.

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L’immunothérapie oncolytique. Les virus oncolytiques sont des virus réplicatifs infectant préférentiellement les tissus tumoraux (1). En se répliquant, le virus induit la mort des cellules tumorales infectées et la libération de signaux de dangers (DAMP, PAMP, chimiokines, cytokines, etc.), permettant la maturation de cellules dendritiques (dendritic cells, DC), ainsi que la présentation d’antigènes viraux et tumoraux (2). Ces DC migrent dans les organes lymphoïdes secondaires où elles promeuvent la différenciation et la prolifération de lymphocytes T (LT) spécifiques d’antigènes tumoraux (3). Ces LT activés migrent en périphérie et exercent une réponse cytotoxique anti-tumorale (4). DAMP : damage-associated molecular patterns (motifs moléculaires associés aux dégâts cellulaires) ; PAMP : pathogen-associated molecular patterns (motifs moléculaires associés aux microorganismes pathogènes). (Image créée avec BioRender.com).
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