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Figure 1.

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La lamine A dans le noyau : observation et modèles. A.  Image en microscopie de florescence d’un noyau de fibroblaste embryonnaire de souris (MEF) contenant de la pré-lamine A4 marquée avec de la eGFP (enhanced green fluorescent protein ; vert). Les télomères sont localisés grâce au marquage du TRF1 (telomeric repeat factor 1) marqué par la DsRed (Discosoma sp. red fluorescent protein ; rouge), et l’ADN est coloré par du Hoechst 33258 (bleu). La lamine A est principalement localisée à la périphérie nucléaire tandis que les télomères sont dispersés dans le noyau. L’image montre un seul plan z et seulement quelques télomères sont visibles (image © Yuval Garini). B.  Illustration du modèle de « lamine A libre » (hémisphère supérieur) et du modèle de « lamine A liée » (hémisphère inférieur). Dans les 2 modèles, la majorité de la lamine A est située à la périphérie nucléaire sous forme de filaments (lignes vertes). Cependant, comme Bronshtein et al. le montrent dans leur étude [6], il existe une portion de lamine A figée à l’intérieur du noyau, jouant le rôle de cross-linkers6 et affectant de manière très importante la dynamique de l’ADN (représenté en bleu). Ces résultats renforcent ainsi le modèle de la « lamine A liée ». C.  Illustration du modèle de la « lamine A liée » : quelques cross-linkers ou nœuds de réticulation (pinces à linge) suffisent à créer une structure rigide à partir d’un polymère flexible représenté par une corde (image adaptée de Bronshtein et al. [6]).

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