Figure 3.

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Schéma illustrant les effets de l’adiponectine et de la résistine au niveau de l’ovaire. Au niveau ovarien, l’adiponectine et ses récepteurs ont été identifiés dans différent types cellulaires, tels que l’ovocyte, les cellules de la granulosa et les cellules de la thèque. Le système adiponectine est aussi présent au niveau de l’utérus. Au niveau des cellules de la thèque, il a été montré que, chez la vache, l’adiponectine diminue la sécrétion des stéroïdes. Chez la femme, la résistine, en présence ou non de forskoline et d’insuline, augmente l’activité de la 17-α-hydroxylase. D’autre part, il a été montré dans des études in vitro sur des cellules de la granulosa que l’adiponectine augmente, en réponse à l’IGF-1, la sécrétion de stéroïdes chez la poule, la rate et la femme. Quant à la résistine, elle exerce, en réponse à l’IGF-1, des effets variables sur la sécrétion de stéroïdes suivant les espèces. Enfin, l’adiponectine améliore la maturation ovocytaire (femme, souris), ainsi que le développement embryonnaire (femme, souris, porc). E2 : œstradiol ; P4 : progestérone; IGF-1 : insulin like growth factor ; MIV maturation in vitro.
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