Tableau I.
Principaux radionucléides utilisés en radio-immunothérapie. a Le temps de demi-vie du radionucléide doit être rapproché du temps de demi-vie de son vecteur ou plus précisément du temps de résidence dans la tumeur. Avec un temps de demi-vie très court (bismuth 213), une grande partie des atomes radioactifs seront désintégrés avant d’avoir atteint leur cible. Avec une demi-vie longue (iode 131, lutétium 177), il faut s’assurer que le temps de résidence dans la tumeur est du même ordre. b Seules les émissions de particules massives (α, β, électrons Auger) délivrent localement assez d’énergie pour un usage thérapeutique. Une émission γ ou X supplémentaire permet de suivre par imagerie la distribution de la radioactivité et d’effectuer une dosimétrie, mais les rayonnements γ de très haute énergie (iode 131) donnent de mauvaises images et posent des problèmes de radioprotection. c L’énergie des particules émises conditionne leur parcours et leur transfert linéique d’énergie (TEL). Un parcours de l’ordre de la taille des lésions est évidemment préférable pour que le dépôt d’énergie, l’irradiation, concerne majoritairement les cellules cibles.
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