Figure 2.

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Bases cellulaires de la toxicité de la SOD1 mutée. La toxicité de la SOD1 mutée qui entraîne la SLA n’est pas liée à une perte de la fonction dismutase de l’enzyme puisqu’une grande partie des 114 mutations actuellement répertoriées dans l’ensemble du gène de la SOD1 humaine n’affecte pas son activité enzymatique. De plus, les souris invalidées pour leur propre SOD1 ne présentent aucun symptôme de SLA alors que des lignées transgéniques de souris ou de rats exprimant différentes formes de SOD1 mutée de manière ubiquitaire (A) présentent une dégénérescence progressive des motoneurones et, qu’une surexpression de SOD1 humaine non mutée n’entraîne aucun symptôme. (B) L’expression de la SOD1 mutée dans les neurones uniquement n’entraîne pas de dégénérescence des motoneurones sans doute en raison de la faible expression du transgène. L’expression de la SOD1 mutée spécifiquement dans les cellules microgliales (C) ou dans les astrocytes (D) n’entraîne pas de mort motoneuronale alors qu’une diminution d’expression du transgène dans les cellules microgliales dans les modèles ubiquitaires (comme en A) entraîne une survie accrue des souris et qu’en culture, les astrocytes exprimant la SOD1 mutée sont toxiques pour les motoneurones [3–5].
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