Figure 3

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Découverte, cycle et mécanisme de l’empreinte parentale. A. Découverte de l’empreinte parentale par des expériences de transferts nucléaires. Illustration d’embryons et annexes extra-embryonnaires androgénotes, avec deux copies de génome paternel, ou gynogénotes, avec deux copies de génome maternel. (Illustrations des embryons avec la courtoisie du Prof M. Azim Surani). M : pronoyau maternel ; P : pronoyau paternel. B. Protection spécifique des locus soumis à l’empreinte parentale lors de la déméthylation globale du génome, juste après la fécondation. Représentation de la méthylation de l’ADN héritée du spermatozoïde en haut (vert) et de l’ovocyte en bas (orange). C. Exemple de la régulation d’un locus soumis à l’empreinte parentale, Igf2-H19, localisé sur le chromosome 7 de la souris. Le gène Igf2 est exprimé uniquement à partir de l’allèle paternel et le gène H19 uniquement à partir de l’allèle maternel. La région de contrôle de l’empreinte (ICR) correspond à une région différentiellement méthylée entre les deux allèles parentaux, transmise méthylée uniquement dans le génome paternel. En absence de méthylation sur l’ICR, la protéine insulatrice CTCF se fixe sur l’allèle maternel et permet aux boucles de chromatine formées d’isoler le gène Igf2 de ses enhancers. Sur l’allèle paternel, ces enhancers peuvent contacter le gène Igf2, en absence de CTCF.
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