Figure 2.

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Fréquence allélique pour quatre locus impliqués dans l’immunité, avant, pendant et après l’épidémie de peste noire. En haut : coordonnées du variant sur le génome, et gène le plus proche. En rouge : données provenant de Londres, en bleu, du Danemark. On voit que la fréquence allélique des trois premiers variants (protecteurs) est plus faible chez les individus décédés durant l’épidémie et plus élevée chez les survivants et leurs descendants ; pour le quatrième (variant de susceptibilité) on observe l’effet inverse. Noter que l’effet de sélection (ou de contre-sélection) est important, avec une fréquence allélique pouvant varier d’un facteur deux (extrait partiel et modifié de la figure 2 de [5]).
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