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Figure 2.

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Développement du bourgeon urétéral et rôle des facteurs impliqués dans son induction et son développement. Au cours du développement embryonnaire, le GDNF est exprimé dans le mésenchyme métanéphrique. Le récepteur tyrosine kinase RET est exprimé dans le mésonéphros. Lors de la liaison du GDNF au récepteur RET (et à un corécepteur non représenté ici), la formation du bourgeon urétéral est induite. Des facteurs de transcription comme PAX2 (paired box gene 2), GATA3 (transacting T-cell-specific transcription factor GATA3), EYA1 (eyes absent homolog 1), SIX1 (sine oculis-related homeoBox 1 homolog protein SIX1), SALL1 (Sal-like 1) et HOX11 (homeoBox 11) agissent comme régulateurs positifs du GDNF. L’activité du GDNF est réprimée par des facteurs de transcription comme FOXC1/FOXC2 (forkhead box C1/C2) et le SLIT2-ROBO2 (slit homolog 2-roundabout homolog 2). La régulation négative du GDNF est importante pour assurer un bourgeon urétéral unique. Des mutations impliquant des régulateurs négatifs conduisent à la formation de bourgeons urétraux multiples dans des modèles de souris. Le facteur de croissance TGFB1 et la protéine morphogénique osseuse 4 (BMP4) sont des inhibiteurs endogènes de la voie de signalisation GDNF/RET et limitent la croissance du bourgeon urétéral à un seul emplacement. Le facteur de transcription WT1 induit également la formation du bourgeon urétéral de manière indépendante. En parallèle, la condensation du mésenchyme induit la formation de la vésicule rénale qui donnera naissance au corps en S puis au néphron fonctionnel.

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