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Figure 1.

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Détection des hétéromères formés par les récepteurs de la dopamine et ceux du glutamate. En haut : représentation schématique de l’interaction entre le domaine t2 (D1R-t2) du récepteur de la dopamine de type 1 (D1R) et la cassette C1 de la sous-unité GluN1 (GluN1-C1) du récepteur du glutamate de type NMDA (NMDAR). L’interaction entre le récepteur de la dopamine de type 2 (D2R) et NMDAR implique, quant à elle, la troisième boucle intracellulaire de D2R (D2R-IL3) et la partie C-terminale de la sous-unité GluN2B (GluN2B-C-ter) de NMDAR. En bas, à gauche : la proximité entre ces récepteurs peut être détectée sur des coupes de cerveaux par la technique PLA (proximity ligation assay), qui repose sur l’utilisation d’anticorps primaires dirigés contre les protéines d’intérêt, puis de sondes PLA, qui sont des anticorps secondaires couplés à des fragments d’ADN simple brin. Lorsque les protéines d’intérêt sont à proximité l’une de l’autre, l’ADN simple brin des sondes va se lier à un ADN circulaire. Les sites de proximité sont révélés grâce à une amplification de l’ADN circulaire avec des oligonucléotides marqués. En bas, à droite : les deux images illustratives montrent le signal PLA, indiquant, dans ce cas, la proximité entre les D1R et les NMDAR, sous la forme de points de couleur brune. Les noyaux des cellules sont colorés en bleu. Chez des souris recevant la cocaïne, la quantité d’hétéromères D1R-NMDAR augmente, par comparaison à des souris témoins recevant une solution saline.

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