Figure 2.

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Inhibiteurs peptidiques et pseudo-peptidiques dérivés de l’heptapeptide ATWLPPR (A7R). A. Structure chimique de l’heptapeptide, identifié par phage display. Des peptides dérivés de A7R plus stables (introduction de liaison peptidiques réduites) ont été développés pour des applications en photothérapie [28] ou pour l’imagerie par résonance magnétique [29]. B. Première série de pseudo-peptides dérivés de A7R [30]. Dans cette série, un motif carbohydrate vient mimer la séquence LPP du peptide A7R. La molécule la plus prometteuse bloque l’interaction entre VEGF165 et NRP1 avec une IC50 de 39 µM. C.Nouvelle génération de pseudo-peptides rigidifiés [31] présentant des IC50 de l’ordre de 15-25 µM.
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