Figure 1.

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Modèle de l’activation de l’EGFR dans la réponse allergique aux acariens chez la souris et rôle de DUOX1 dans la persistance du signal. L’activation de l’EGFR par le biais des acariens augmente l’oxydation de l’EGFR (également de Src) dans les cellules épithéliales, ce qui amplifie l’activation de l’EGFR ; elle est aussi associée à une expression plus élevée des ligands de l’EGFR (dont AREG). Cette activation induit ensuite un syndrome asthmatique (métaplasie, sécrétion de mucus, envahissement fibreux et par des cellules immunitaires de type inflammatoire). Les cellules immunitaires recrutées amplifient à leur tour la voie de l’EGFR « allergique ». De la lumière du conduit aérien vers l’extérieur, on trouve les éléments suivants (indiqués par différents tons de rose et jaune) : du mucus (très peu à gauche et abondant à droite), l’épithélium cilié, le chorion, la couche musculaire et, finalement, la couche cartilagineuse. ILC2 : innate lymphoid cell, cellule lymphoïde innée de type 2 ; acarien : HDM (house dust mite) ; amphiréguline : AREG.

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