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Figure 1.

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Étendue des influences non visuelles de la lumière. Un réseau diffus de cellules ganglionnaires rétiniennes (CGR) intrinsèquement photosensibles (p) grâce à l’expression de la mélanopsine, est plus sensible au bleu (480 nm) et reçoit des afférences des cônes et des bâtonnets (A) . Ces cellules ont des projections directes vers les noyaux suprachiasmatiques (SCN) de l’hypothalamus, site de l’horloge circadienne principale, et régulent l’entraînement circadien, notamment via une influence sur l’expression de certains gènes (B) . La lumière régule également l’activité locomotrice et peut modifier la phase circadienne (C) . Les CGR à mélanopsine se connectent au prétectum contrôlant la constriction pupillaire (D) , et des projections indirectes via le SCN sont responsables de la suppression de la sécrétion de mélatonine par la lumière (E) . Les CGR à mélanopsine ont aussi des projections directes vers des structures régulant le sommeil, telles que l’aire ventrolatérale préoptique (VLPO) et affectent donc le sommeil (F) . La lumière bleue modifie les réponses cognitives cérébrales (G) et peut améliorer le niveau d’éveil et de vigilance (H) . Les CGR à mélanopsine sont aussi impliquées dans des fonctions visuelles rudimentaires (Figure extraite de [33]).

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