Figure 2.

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Principales stratégies développées pour inhiber l’immunosuppression associée au cancer. L’immunosuppression associée au cancer peut être secondaire au recrutement de cellules suppressives (lymphocytes T régulateurs, cellules myéloïdes suppressives) dans le microenvironnement des tumeurs sous l’influence de molécules sécrétées par la tumeur (TGFβ, VEGF, etc.). Par ailleurs, les lymphocytes T qui infiltrent les tumeurs sont peu fonctionnels et anergiques. Différents mécanismes peuvent expliquer cet état d’anergie : (1) expression par les lymphocytes T de molécules de costimulation inhibitrices (CTLA-4, PD1, Tim-3, etc.) qui, en interagissant avec leurs ligands exprimés sur les cellules tumorales ou les cellules stromales, vont déclencher un signal d’inhibition sur ces lymphocytes ; (2) des molécules produites par la tumeur (TGFβ, IL-10, IDO, etc.) peuvent inhiber la fonctionnalité des lymphocytes T. Différentes stratégies sont actuellement développées pour contrecarrer ces mécanismes d’inhibition (regroupées sur la figure dans les différents rectangles rouges).
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