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Figure 1.

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La pathologie de tau chez les souris P301S et ALZ17. Le modèle P301S (à gauche) exprime l’isoforme de la protéine tau humaine qui possède 4 domaines répétés mais pas d’insert amino-terminal. Ce modèle présente une tauopathie sévère au niveau du tronc cérébral et la moelle épinière. L’anticorps AT8 détecte la protéine tau dans un état hyperphosphorylé. Le marquage argentique Gallyas, spécifique de tau agrégé, met en évidence la présence de nombreux tangles. Les photos représentent une coupe coronale du tronc cérébral. Les souris ALZ17 (à droite) sont génétiquement modifiées pour exprimer l’isoforme la plus longue de la protéine tau humaine normale non mutée. Ces animaux présentent une phosphorylation de la protéine tau (marquage AT8 positif) mais pas d’agrégation comme l’indique l’absence de marquage au Gallyas. Les photos représentent une coupe coronale de l’hippocampe.

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