Figure 2.

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Dysfonctionnements des rythmes circadiens. Oscillations obtenues dans le modèle décrit pour les rythmes circadiens des mammifères (Figure 1C) après entraînement par des cycles jour-nuit (A) et en conditions d’obscurité constante (B) pour des sujets ayant un rythme de sommeil normal ou souffrant de syndromes d’avance (FASPS) ou de retard (DSPS) de phase du sommeil. Dans le cas normal (traits noirs), la période autonome est proche de 24 h (τ = 24,4 h). Pour le FASPS (traits rouges), le maximum des oscillations de transcription du gène Per est avancé de quelques heures lors d’un entraînement et la période autonome est raccourcie d’une heure (τ = 23,4 h). Pour le DSPS (traits bleus), le maximum est retardé lors d’un entraînement et la période est allongée d’environ 2 h (τ = 26,5 h). Les rectangles blancs et gris correspondent respectivement aux phases de lumière et d’obscurité. Les courbes ont été obtenues par intégration numérique des équations du modèle pour les rythmes circadiens chez les mammifères [12] avec les valeurs de paramètres reprises dans le Tableau I de cet article. La vitesse maximum de phosphorylation de la protéine PER, mesurée par le paramètre Vphos, vaut 0,6 nM/h pour le FASPS, 0,85 nM/h pour le cas normal et 1,1 nM/h pour le DSPS.
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