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Figure 1.

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Trois modèles de complexité croissante pour les rythmes circadiens. A. Le premier modèle proposé pour les rythmes circadiens chez la drosophile tient compte de la régulation du seul gène per [7]. Le mécanisme de régulation dans ce modèle est fondé sur une boucle de rétroaction négative, la transcription du gène per étant inhibée par son produit, la protéine PER. B. Modèle pour les rythmes circadiens chez la drosophile incorporant le gène tim. Ce modèle tient compte de la formation d’un complexe PER-TIM, d’une boucle de rétroaction négative exercée par ce complexe sur la trancription des gènes per et tim, et de l’effet de la lumière sur la dégradation de la protéine TIM [9]. C. Modèle pour les rythmes circadiens chez les mammifères incorporant les gènes Per, Cry, Clock, Bmal1 ainsi qu’une régulation positive du complexe CLOCK-BMAL1 sur les gènes Per et Cry, une régulation négative de PER-CRY sur l’activité du complexe CLOCK-BMAL1 via la formation d’un complexe tétramérique inactif, une régulation négative de CLOCK-BMAL1, via REV-ERBα (non représenté), sur la transcription de ses propres gènes, et l’induction du gène Per par la lumière [12].

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