Figure2.

Télécharger l'image originale
Les anticorps à l’assaut des antigènes solubles ou membranaires. L’action d’un Ac varie selon sa cible, selon que celle-ci est soluble (à gauche) ou membranaire (à droite). Dans la première situation, l’Ac empêche la fixation de l’Ag (cytokine, chimiokine, toxine…) à son récepteur présent à la surface des cellules, ce qui conduit à l’absence de toute signalisation normalement induite par cet antigène. De façon similaire, des Acm dirigés contre la protéine d’enveloppe d’un virus responsable de la fixation du virion à un récepteur cellulaire vont inhiber cette fixation et bloquer ainsi l’entrée du virus. Dans la deuxième situation, l’Ac va fixer l’Ag présent à la surface de la cellule cible, induisant ainsi soit des effets directs (activation ou inhibition de l’activation cellulaire, apoptose, cytostase) soit le recrutement et l’activation d’effecteurs cellulaires (cellules NK, monocytes, polynucléaires neutrophiles…) ou moléculaires (activation de la voie classique du complément après fixation de la molécule C1q), sans que ces deux types d’effets soient mutuellement exclusifs.
Les statistiques affichées correspondent au cumul d'une part des vues des résumés de l'article et d'autre part des vues et téléchargements de l'article plein-texte (PDF, Full-HTML, ePub... selon les formats disponibles) sur la platefome Vision4Press.
Les statistiques sont disponibles avec un délai de 48 à 96 heures et sont mises à jour quotidiennement en semaine.
Le chargement des statistiques peut être long.