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Figure 4.

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Un interrupteur génétique bidirectionnel régulé par le cycle cellulaire : le projet de l’équipe de Strasbourg. Les deux constructions A et B comportent chacune un auto-activateur (SA), un répresseur (R) ainsi qu’un activateur (CA) de l’autre gène. CA et R sont exprimés en parallèle, mais le répresseur l’emporte sur l’activateur. Les auto-activateurs et les répresseurs comportent un motif de dégradation par l’APC. Un signal extérieur (starter) active la construction A, maintenue ensuite par une boucle de rétrocontrôle positif via SA1. L’expression du répresseur R1 inhibe celle de la construction B et l’emporte sur l’activité de CA1. À la fin de la mitose, l’APC est exprimée et induit la dégradation de R1 et de SA1, permettant alors à CA1 d’activer la construction B tandis que A s’éteint. La disparition de l’APC en G1 permet l’expression de SA2, qui prend le relais pour maintenir l’activation de B, et de R2, qui réprime A. Lors de l’anaphase suivante, le système s’inverse de nouveau. En insérant le gène codant pour la GFP dans la construction A, les cellules exprimeront la fluorescence une génération sur deux, permettant de compter les divisions cellulaires.

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