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Figure 3.

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Mécanismes post-traductionnels de l’horloge moléculaire circadienne. Toute protéine de l’horloge est en équilibre entre une (ou plusieurs) forme active phosphorylée et une forme inactive déphosphorylée. La situation inverse, non représentée ici, est bien sûr possible. Trois kinases, CKIε, CKIδ, GSK3β (caséine kinase I epsilon et I delta, glycogène synthase kinase-3 beta) et deux phosphatases PP1 et PP5 (protéine phosphatases 1 et 5) ont été impliquées dans le fonctionnement de l’horloge. L’activation de la protéine modifie différents paramètres tels que : activité transcriptionnelle, localisation sub-cellulaire, capacité à dimériser. La protéine est ensuite dirigée vers les voies de dégradation. Cela implique les protéines β-TrCP (beta-transducin repeat containing protein, pour la dégradation des protéines PER) et FBXL3 (F-box and leucine-rich repeat protein 3 ; dégradation des protéines CRY), toutes deux membres du complexe E3 d’ubiquitine ligases [3, 20].

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