Figure 1.

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Les cadhérines classiques. Tous les membres de la superfamille des cadhérines sont des protéines transmembranaires qui sont caractérisées par un domaine unique, appelé le domaine cadhérine, qui permet les interactions homophiliques, dépendantes du calcium. Le domaine intracellulaire est lui au contraire très divergent entre les différentes familles mais très conservé au sein d’une même classe. Ainsi, les cadhérines classiques ont un domaine cytoplasmique très conservé. La queue intracytoplasmique de la E-cadhérine (en violet) se lie à la β-caténine (vert), ou Armadillo chez la drosophile. La β-caténine se lie à l’α-caténine (bleu) qui elle interagit avec l’actine (rouge). Ainsi, le modèle proposé jusqu’ici était que la E-cadhérine est reliée à l’actine via les caténines (modèle statique). Cependant, récemment, ce modèle statique a été remis en question [32–34]. En effet, les équipes de Nelson et Weiss ont montré que l’α-caténine était associée de manière exclusive soit au complexe β-caténine/E-cadhérine soit à l’actine (modèle dynamique). Les auteurs proposent ainsi un modèle plus dynamique ou l’α-caténine alternerait continuellement entre une forme monomérique pouvant se lier à la β-caténine et une dimérique se liant à l’actine.
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