Tableau II.
Sources d’EPA et de DHA pour l’homme (d’après [28, 29]). Ces valeurs constituent les moyennes pondérées des résultats obtenus par divers auteurs : les écarts sont en effet très importants, selon les teneurs en lipides, les lieux de pêches, les saisons, la température de l’eau, le sexe, le poids, les parties anatomiques… De ce fait, les écarts ont été précisés dans ce tableau pour les poissons les plus gras. Selon qu’il s’agit de thon albacore, germon, listao ou rouge, les teneurs en lipides sont très différentes, et par conséquent aussi celles en acides gras ω-3. Les saumons d’élevage actuels, comme probablement les autres poissons d’élevage, sont fréquemment nourris avec des huiles de poisson, expliquant leur richesse en acides gras oméga-3, mais cette qualité pourrait ne pas perdurer (voir texte). Les viandes d’oiseaux et de mammifères, monogastriques ou polygastriques (bovins, ovins ou caprins), et leurs dérivés (lait, fromages, beurre, produits laitiers) ne sont pas détaillés, car leurs contenus en EPA et DHA sont très faibles, exceptés pour certains produits tripiers, qui ne sont plus consommés en quantités utiles (foie), voire interdits à la consommation (cervelle de certaines espèces). L’œuf « ω-3 » est commercialisé sous les noms de Benefic® et Columbus®. En revanche, l’œuf standard ne contient que 0,033 g/100 g de DHA aux ωtats-Unis, et 0,04 g/100 g en France (type Glon®).
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