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Figure 6.

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Analyse électrophysiologique d’un mutant de transmission synaptique. En 1999, J. Richmond et E. Jorgensen [30] ont mis au point une préparation de C. elegans qui permet d’enregistrer la transmission synaptique au niveau des jonctions neuromusculaires. A. Le ver est fixé sur un support avec une colle chirurgicale. Une incision latérale de la cuticule permet d’exposer les cellules musculaires et la corde nerveuse ventrale après aspiration du contenu de la cavité pseudocoelomique. La stimulation des motoneurones par une électrode placée au voisinage de la corde ventrale provoque la libération de neurotransmetteur. B. La stimulation des récepteurs de l’acétylcholine et du GABA présents aux jonctions neuromusculaires produit un courant synaptique enregistrable au niveau de la cellule musculaire (flèche rouge); la pointe du triangle indique l’artéfact de stimulation. La protéine UNC-13 joue un rôle clé dans l’exocytose des vésicules synaptiques. Chez des mutants unc-13, partiel (n2813) ou nul (s69), le courant post-synaptique est respectivement diminué ou aboli [38].

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