| Numéro |
Med Sci (Paris)
Volume 36, Numéro 2, Février 2020
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| Page(s) | 181 - 184 | |
| Section | Forum | |
| DOI | https://doi.org/10.1051/medsci/2020013 | |
| Publié en ligne | 4 mars 2020 | |
Clap de fin pour le « gène de l’homosexualité »
Chroniques génomiques
End of the road for the « homosexuality gene »
UMR 7268 ADÉS, Aix-Marseille, Université /EFS/CNRS ; CoReBio PACA, case 901, Parc scientifique de Luminy, 13288 Marseille Cedex 09, France
Abstract
Evidence for a “homosexuality gene” was claimed in the early 1990’s on the basis of linkage studies that, by current criteria, were woefully underpowered. Indeed, follow up studies gave contradictory results. Genome-wide association studies, and very large databases with detailed genetic and phenotypic data, have made possible a re-examination of this issue. While modest heritability (ca. 0.3) for homosexuality is confirmed, no major locus is found and the genetic influence appears extremely polygenic. Thus, there is no single gene, or even small set of genes, that have a strong influence on homosexuality.
© 2020 médecine/sciences – Inserm
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