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Trois hypothèses pour expliquer le rajeunissement apparent des lymphocytes T CD8+ spécifiques du VIH-1 après un traitement antirétroviral prolongé. A. Adaptation de la réponse des lymphocytes T CD8+ à un virus mutant. Le variant initial du VIH-1 (trait pointillé rouge) est remplacé par un nouveau variant (trait pointillé vert) consécutif à l’apparition d’une mutation au site antigénique. Les lymphocytes T CD8+ reconnaissant le variant initial (trait plein rouge) disparaissent progressivement, et sont remplacés par de nouveaux lymphocytes (trait plein vert) reconnaissant le nouveau variant et présentant un profil de différenciation précoce et de meilleures fonctions effectrices. B. Dédifférenciation des lymphocytes T CD8+. La population virale reste stable au cours de l’infection chronique (trait pointillé rouge). Les lymphocytes T CD8+ qui reconnaissent le variant initial sont maintenus. Ces lymphocytes se dédifférencient pour acquérir un profil de « stemness » ainsi que de meilleurs fonctions effectrices. C. Émergence de nouveaux clones de lymphocytes T CD8+. La population virale reste stable au cours de l’infection chronique (trait pointillé rouge). En revanche, les lymphocytes T CD8+ présents au début de l’infection, qui présentent des caractéristiques associées à l’épuisement (trait plein rouge), disparaissent progressivement, et sont remplacés par des nouveaux clones (trait plein jaune) présentant des caractéristiques associées à la « stemness ».

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