Figure 1.

Télécharger l'image originale
Méthodologie et conclusions sur l’origine des mutations et le déclenchement de la maladie. A. Description schématique de la méthodologie employée. Les cellules de la moelle ou du sang des patients atteints de NMP ont été ensemencées en milieu semi-solide. Cette technique permet d’obtenir des colonies de progéniteurs qui ont ensuite été analysées par séquençage entier du génome (WGS). Les mutations acquises durant l’hématopoïèse ont ensuite été identifiées pour chaque patient en comparant le génome de chaque progéniteur hématopoïétique avec le génome des cellules de l’épithélium buccal ou des lymphocytes T. Après cette étape, les auteurs ont reconstruit les arbres phylogénétiques des mutations acquises en les couplant à leur âge d’apparition en fonction du nombre de mutations par colonie. B, C..Le déclenchement de la maladie dépend de plusieurs paramètres : 1) de l’âge d’apparition des mutations qui surviennent le plus souvent in utero ou dans l’enfance et 2) du nombre de mutations associées qui influence le taux d’expansion/an des cellules souches mutées. Ainsi, la latence de la maladie jusqu’au diagnostic varie selon le type et le nombre de mutations dans un même clone. Par exemple, JAK2V617F seul a une expansion très hétérogène avec un maximum de 73 % par an, cette expansion est très augmentée en présence de mutations multiples (TET2, DNMT3A, 9UPD) et peut aller jusqu’à 303 % par an.
Les statistiques affichées correspondent au cumul d'une part des vues des résumés de l'article et d'autre part des vues et téléchargements de l'article plein-texte (PDF, Full-HTML, ePub... selon les formats disponibles) sur la platefome Vision4Press.
Les statistiques sont disponibles avec un délai de 48 à 96 heures et sont mises à jour quotidiennement en semaine.
Le chargement des statistiques peut être long.