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Figure 1.

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L’axe endocrinien hypothalamo-hypophyso-gonadique. Les corps cellulaires des neurones produisant la neurohormone GnRH sont répartis dans la région préoptique et tubérale de l’hypothalamus et envoient leurs axones dans l’éminence médiane, où la GnRH est libérée dans les vaisseaux sanguins du système porte hypothalamo-hypophysaire pour être acheminée vers l’adénohypophyse. La GnRH y stimule la sécrétion des gonadotrophines: l’hormone lutéinisante (LH) et l’hormone folliculo-stimulante (FSH). La LH et la FSH sont à leur tour libérées dans la circulation sanguine et agissent dans les gonades (ovaire ou testicule) pour stimuler la production de gamètes, ainsi que la sécrétion d’hormones stéroïdiennes (œstrogènes chez la femme, testostérone chez l’homme). Dans le cerveau, les stéroïdes gonadiques influencent la sécrétion de GnRH par le biais de boucles de rétroaction neuroendocriniennes. Ces hormones, ainsi que d’autres véhiculant des signaux métaboliques, telles que la leptine, sont perçues par un réseau de neurones transmettant l’information aux neurones produisant la GnRH (qui eux n’expriment pas les récepteurs de ces hormones). NOS1: enzyme neuronale synthétisant le monoxyde d’azote (NO); LepR: récepteur de la leptine; ERα: récepteur a des œstrogènes; OVLT: organum vasculosum laminae terminalis; MePO: noyau préoptique médian; AVPC: noyau antéro-ventral périventriculaire; ARH: noyau arqué de l’hypothalamus (figure adaptée de [13]).

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