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Figure 1.

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Trois niveaux d’implication possible dans la pathogénèse de la narcolepsie. A. Les lymphocytes T CD4+ auto-réactifs (cellules rouges) détectés dans le sang des patients atteints de narcolepsie sont les principales cellules impliquées dans la mort neuronale, directement ou indirectement. D’autres cellules pathogènes du système immunitaire, telles que les lymphocytes T CD8+ cytotoxiques et les lymphocytes B producteurs d’anticorps (cellules bleues), pourraient aussi contribuer à la physiopathologie [3]. BHE : barrière hémato-encéphalique ; Hcrt : hypocrétinergique. B. La présence de lymphocytes T CD4+ auto-réactifs dans le sang des patients atteints de narcolepsie est secondaire à la destruction neuronale ; néanmoins, ces cellules contribuent à la physiopathologie de la narcolepsie. La mort des neurones hypocrétinergiques serait due à d’autres cellules immunitaires pathogènes. La libération d’auto-antigènes par les neurones mourants permettrait alors le recrutement d’une nouvelle vague de lymphocytes T auto-réactifs maintenant ainsi la pathologie, un phénomène appelé diversification épitopique (epitope spreading). C. Les lymphocytes T CD4+ auto-réactifs sont secondaires à la pathologie et non pathogènes. Ils peuvent également être sans relation avec la pathologie, par exemple, la conséquence d’une insuffisance chronique en hypocrétine sur le système immunitaire ou d’une perturbation sévère de l’horloge biologique.

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