Figure 2.

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Suivi en temps réel des dommages osmotiques induits au niveau du bourgeon membranaire accompagnant l’entrée du tachyzoïte de T. gondii dans une cellule humaine lorsque la rotation finale du parasite est mécaniquement bloquée, empêchant la fermeture du bourgeon sous forme de vacuole parasitophore. Un tachyzoïte de Toxoplasma gondii amorce son entrée dans une cellule d’ostéosarcome humain (lignée U2OS) exprimant la chimère GFP-MP (green fluorescent protein) ciblée à la membrane plasmique (MP). Le parasite exprime la chimère RON2-mcherry (fusion de rhoptry neck protein 2 et de mcherry-fluorescent protein) qui indique la localisation des rhoptries, mais surtout celle de la jonction circulaire servant de porte d’entrée. Étant artificiellement bloqué par une bille micrométrique fluorescente bleue attachée à son extrémité postérieure, le parasite ne peut pas correctement fermer la jonction zoïte-cellule (JZC), ce qui entraîne un influx d’ions extérieurs et une perturbation osmotique avec comme conséquence le gonflement du bourgeon enveloppant (indiqué par une flèche). Le suivi en temps réel comprend un panneau en lumière transmise et un panneau combinant les trois fluorescences. Les temps sont indiqués en secondes, les protrusions membranaires autour de la bille sont visualisées par des têtes de flèches. Échelle : 5 μm.
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