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Figure 4.

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A. Schéma de la structure. Capteur à effet de champ (FET, field effect transistor) fondé sur des RO couplés à des nanotubes de carbone (CNT). Les RO ont été exprimés dans la bactérie Escherichia coli. La limite de détection du signal odorant mesuré en phase liquide est de 10-15 M (1 fM). L’augmentation des concentrations en composés odorants (injections successives indiquées par des flèches dans le temps) induit une augmentation du signal (G/G0) (d’après [37]). B. Nez bioélectronique (nbe-nose). Dans ce dispositif, le FET est constitué de microélectrodes interdigitées sur lesquelles sont accrochés des nanotubes de polymère conducteur (CPNT) greffés avec des RO (image en microscopie à balayage). La réponse électrique du dispositif exposé à différentes concentrations d’hélional en phase gazeuse (rouge : 2x106 ppt, vert : 2x104 ppt, bleu : 2x102 ppt, violet : 2x100 ppt, orange : 2x10-2 ppt), odorant spécifique du RO utilisé (hOR3A1), montre une limite de détection du signal de 0,02 ppt. La réponse relative du nbe-nose à des odorants de structure similaire, normalisée à celle de l’hélional, montre une forte spécificité à cet odorant (d’après [38]).

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