Figure 2

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Modèle de l’infection ou de la restriction du virus HTLV1, dans les cellules dendritiques immatures ou matures. Le virus HTLV-1, transmis à la cellule dendritique par contact avec un lymphocyte T infecté, se lie à ses récepteurs d’entrée sur la membrane plasmique. Le virus est ensuite endocyté et se retrouve au sein de vésicules riches en tétraspanines. Dans les cellules dendritiques immatures (A), le pH des vésicules serait optimal pour assurer la fusion entre l’enveloppe virale et la membrane de l’endosome. La capside, contenant le génome viral, est alors véhiculée jusqu’au noyau. L’ARN viral est rétrotranscrit en ADN viral, qui s’intègre dans le génome de l’hôte. À partir de cet ADN proviral seront synthétisés les ARN viraux et les protéines virales, qui s’assemblent à la membrane plasmique de la cellule dendritique, permettant l’infection de lymphocytes T sains voisins. L’acidité des vésicules, accrue dans les cellules dendritiques matures (B), empêcherait la fusion de l’enveloppe virale avec la membrane de l’endosome, ce qui mettrait fin au cycle viral.
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