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Figure 1.

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La myotubularine et la dynamine 2 dans les myopathies centronucléaires. A. Des mutations de MTM1 codant la myotubularine ou de DNM2 codant la dynamine 2 conduisent aux myopathies centronucléaires liée à l’X (XLCNM) ou autosomique dominante (ADCNM), respectivement. La forme liée à MTM1 est aussi appelée myopathie myotubulaire. Coloration hématoxyline-éosine des muscles (adapté de figure 1 [11]). B. L’hypothèse de travail est que les mutations MTM1 entraînent des pertes de fonction et les mutations DNM2 des gains de fonction. La diminution de la dynamine 2 dans des souris sans myotubularine restaure un phénotype normal, ce qui suggère que la myotubularine inhibe la dynamine 2 lors du fonctionnement normal du muscle. C. La souris Mtm1-/y reproduit un phénotype de myopathie myotubulaire à partir de l’âge de 2 à 3 semaines, et développe une myopathie progressive menant au décès de l’animal. La diminution de l’expression de Dnm2 dans tous les tissus (Dnm2+/-), ou sélectivement dans le muscle de façon constitutive (Dnm2skm+/-), ou sélectivement dans le muscle à partir de 3 semaines de vie (Dnm2skm(i)+/-), stoppe la progression de la myopathie et corrige le phénotype tout en augmentant grandement la survie des animaux Mtm1-/y.

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