Figure 1.

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Modèle du mécanisme permettant à Tat d’inhiber la neurosécrétion. Dans les conditions physiologiques normales, la stimulation des cellules neurosécrétrices entraîne une élévation du niveau intracellulaire de calcium qui conduit à une modification de l’état de polymérisation des filaments d’actine corticale. Ceci permet le recrutement des vésicules de sécrétion à la membrane plasmique où se forment les sites d’exocytose impliquant le complexe multiprotéique SNARE et des protéines régulatrices. Ces deux processus nécessitent des interactions avec le phospholipide PtdIns(4,5)P2. Dans des conditions pathologiques, Tat peut pénétrer dans les cellules neurosécrétrices par endocytose et se retrouver dans le noyau pour y affecter la transcription de certains gènes. En se liant au PtdIns(4,5)P2 de la face interne de la membrane plasmique, Tat altère la dépolymérisation des filaments d’actine corticale et la formation des sites d’exocytose fonctionnels.
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